Voulons-nous que nos droits soient à la merci des médecins ?
Les auteures se penchent sur les critères qui devraient guider une potentielle réforme du droit en lien avec la santé mentale, en réponse à la chronique de Paul Arcand « Attendre qu’il fasse quelque chose de grave1 », publiée le 5 avril.
La chronique de Paul Arcand traite du meurtre de Lysane Gendron par son fils Emmanuel Gendron-Tardif, reconnu non criminellement responsable pour cause de problèmes de santé mentale.
L’Association des groupes d’intervention en défense de droit en santé mentale du Québec (AGIDD-SMQ) tient toutefois à souligner la pente glissante employée par l’auteur, allant à l’encontre des droits des personnes vivant ou ayant vécu un problème de santé, entre autres, ceux des droits au consentement et à la liberté. Rappelons........
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