Avec son deuxième EP, Sam Sauvage suscite l’engouement. Originaire du Pas-de-Calais, l’auteur-compositeur de 25 ans défend sur scène un répertoire plein d’humanisme mêlant chanson, rock, électro et new wave.

Long, mince, coupe de cheveux ébouriffée, cravate noire ajustée sur une chemise blanche. Aussi dandy chic qu’un Pete Doherty à ses débuts, Hugo Brebion, alias Sam Sauvage, impose avec classe son répertoire pop. Il lui a valu d’être sélectionné dans la dernière promotion du Chantier des Francofolies de La Rochelle, qui soutient les jeunes artistes francophones en début de carrière.

« C’est un rêve de gosse, confie-t-il les yeux encore brillants d’émotion. Avec mon guitariste, Corentin Gogolewski, on s’est ainsi retrouvés en juillet dernier à jouer devant 12 000 festivaliers entre Véronique Sanson et Santa. J’apprends à faire une rencontre avec le public et à ne plus être dans une forme de combat à cause du stress. »

Comme Alain Bashung ou

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