Interrogé par la commission d’enquête sur les violences dans les établissements scolaires de l’Assemblée nationale, le premier ministre François Bayrou a tenté d’esquiver les accusations qui le visent. Une attitude qui a exaspéré tant au sein de l’opposition politique que les victimes de violences physiques et sexuelles au sein de l’établissement catholique Notre-Dame de Bétharram.

Pendant plus de cinq heures, le premier ministre François Bayrou aura tenté d’échapper à l’évidence : il a menti face aux parlementaires, médias et n’a pas agi alors que les violences sexuelles ont gangrené l’établissement........

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