Festival d’Avignon : et la Palestine, dans tout ça ?
Présentant lundi son « pré-bilan », Tiago Rodrigues s’est enorgueilli des chiffres de fréquentation et fait son mea-culpa quant à la (très) faible représentation des spectacles en langue arabe dans la programmation, venant clore une édition décidément en demi-teinte.
Avignon (Vaucluse), envoyés spéciaux.
Cette année, le festival devait être celui de la langue arabe. Il aura fallu attendre les trois derniers jours pour assister à la représentation du seul spectacle de théâtre qui honore cette promesse. En l’occurrence, © L'Humanité
