« Parfois, on me demandait de nettoyer 20 chambres en une matinée, c’est impossible » : à Paris, huit salariés sans papiers licenciés par un sous-traitant d’Accor réclament leur régularisation
Huit femmes et valets de chambre sans-papiers, en lutte contre Hospitality, un sous-traitant du groupe Accor, exigent avec l’aide de la CGT leur régularisation par l’embauche et la reconnaissance des préjudices causés.
Exploités puis licenciés. Ils s’appellent Amel, Rebiha, Maher, Imane, Fatiha, Abdeljalil, Mouna et El Hassane. Depuis une semaine, © L'Humanité
