Après plusieurs accidents liés à des airbags défectueux, dont 12 décès, Citroën a lancé lundi 17 février une opération de rappel des 250 000 C3 et DS3 en circulation dans la moitié nord de la France. « Chacune de ces marques, à chaque fois, n’a pas pris les devants, a attendu qu’il y ait une catastrophe pour réagir », a dénoncé sur Franceinfo l’avocat Charles-Henri Coppet, qui accompagne certaines des victimes.

250 000 automobilistes au nord d’une ligne Lyon Clermont-Ferrand, vont devoir se séparer momentanément de leur Citroën à partir de lundi 17 février. Par son opération « Stop Drive », le constructeur, filiale du groupe Stellantis, veut corriger les problèmes d’airbags des modèles de C3 et DS3 concernés.

Le groupe a indiqué prendre cette mesure « par précaution », selon un porte-parole de Stellantis à l’AFP. Les craintes viennent de tests effectués sur une voiture en Loire-Atlantique, présentant « une dégradation des propriétés........

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