Auditionné par la commission des Lois de l’Assemblée nationale, ce 12 février, le ministre de l’Intérieur a défendu les mesures xénophobes de la circulaire envoyée aux préfets le 23 janvier.

Appels du pied, sourires et phrases rassurantes, à l’égard des députés d’extrême droite, contre mépris et enfumage en réponse aux questions pragmatiques de la gauche. C’est en gros l’exercice auquel s’est attelé, ce mercredi 12 février, le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, devant la commission des Lois de l’Assemblée nationale, qui souhaitait l’entendre au sujet de sa circulaire sur les régularisations de personnes en situation irrégulière, publiée le 23 janvier.

À ses côtés, la ministre chargée du Travail et de l’Emploi, Astrid Panosyan-Bouvet, était attendue sur le sujet de la liste des métiers dits « en tension », prévue par la loi Darmanin et n’ayant toujours pas été publiée.

En réalité, c’est en tant que candidat à la présidence du parti « Les Républicains » que Bruno Retailleau s’est présenté devant les parlementaires. Il avait pris soin de........

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