LOS ANGELES | Pat Brisson a la réputation d’être respectueux et assez relax dans ses négociations. 

Mais quand je lui demande combien de fois, dans sa carrière, un appel s’est terminé par un «va te faire foutre» (en anglais) avec un directeur général, il part à rire.

«Je te dirais quatre ou cinq fois. Parfois, ça devient très émotif.»

Et il se ravise. «Ah, tu parlais des directeurs généraux, pas des joueurs! Bien là! C’est bien plus que ça. Je te dirais au moins une centaine de fois», balance Brisson.

«Écoute, je suis reconnu comme un gars patient. Mais quand j’atteins mon seuil et que je suis convaincu que j’ai raison, là, les gants peuvent tomber.»

Il reconnaît aussi avoir eu de la difficulté avec quelques parents de joueurs. Mais c’est beaucoup plus........

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