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Pourquoi je choisis le camp de la honte, par Martine Delvaux

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thursday

J’ai passé les dernières semaines dans une unité de soins palliatifs montréalaise, au chevet de mon beau-père, cet homme qui n’est pas mon père de sang, mais qui m’a élevée, comme on dit, et dont l’état de santé s’est détérioré au cours de l’été.

Cet accompagnement a perturbé mon rapport à l’actualité. Les journées sont désormais tributaires des heures........

© Libération