L’amour à l’état fossile, par Emanuele Coccia
Nous avons l’habitude de voir les vestiges de nos villes comme de simples déchets minéraux, des ruines sans vie qui ne gardent que des traces confuses d’une vie dont il ne reste plus la moindre trace. Pourtant, quand on se balade dans Paris, Rome ou Marseille, ce qui nous entoure, ce n’est pas juste des pierres ou des matériaux à recycler et à réutiliser pour réduire notre empreinte........
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