Travailler pour l’ennemi: jamais!
EXPERT INVITÉ. C’est à partir du moment où l’impossible devient concevable et où l’inimaginable laisse place à une multitude d’occasions que l’on peut commencer à travailler pour l’ennemi.
Dans le merveilleux monde du travail se trouve une loi non écrite qui stipule que l’on ne va pas travailler pour la compétition. Cette loi dit aussi que les professionnels RH et les gestionnaires embaucheurs ne vont pas marauder, solliciter, ni même interviewer un employé évoluant pour la compétition. Cette loi non écrite n’empêche toutefois pas un employé malheureux de déposer sa candidature chez le compétiteur.
Effectivement, il existe des accords de non-concurrence et de confidentialité, ainsi que des ententes explicites qui limitent les employés qui changent d’employeur à apporter ou à divulguer des informations et des données sensibles concernant les clients, les fournisseurs, les secrets industriels et les données financières.
Malgré tout, peut-on empêcher un cœur de ne plus aimer ou peut-on dicter à l’employé qui il doit aimer?
Pendant que l’on travaille, nous sommes dédiés à 100% pour notre employeur et avons son logo tatoué sur le cœur. Lorsque nous sommes bien, le sentiment d’appartenance est très élevé, et les petites contraintes et imperfections sont très loin de nous rebuter. Étrangement, si notre compétiteur a les mêmes........





















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