Avec les nominations des nouveaux chefs de l’armée et du renseignement, la page Viola Amherd est tournée
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L’appareil sécuritaire de la Suisse a été passablement secoué ces dernières années. Au niveau de l’armée, il y a eu la gestion plus que critiquable des F-35 ou des drones israéliens. Quant aux services de renseignement, ils sont fragilisés par des tensions internes et un fort mécontentement des cantons.
A la tête du Département de la défense depuis quatre mois, Martin Pfister a hérité de toutes ces difficultés. Et il fait face. Contrairement à sa prédécesseure Viola Amherd, le Zougois agit, communique et informe de manière transparente. Une étape demeurait dans les changements de gouvernance voulus par le centriste: la désignation des deux personnes clés de la sécurité en Suisse – les chefs de l’armée et du Service de renseignement (SRC).
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