Locarno, un festival de premier plan qui doit le rester
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En été 1946, peu avant la première édition du Festival de Cannes, celui de Locarno montrait dans ce qui fut aussi son baptême du feu O sole mio, un film considéré comme l’une des œuvres fondatrices du néoréalisme italien. Dès lors, la manifestation tessinoise ne cessera d’être à l’écoute des nouvelles tendances. De Spike Lee à Jim Jarmusch, de Claude Chabrol à Eric Rohmer, de Michelangelo Antonioni à Glauber Rocha, de Mike Leigh à Todd Haynes, on ne compte pas les cinéastes qui y ont vécu leur première grande reconnaissance internationale.
Cette année, l’Iranien Jafar Panahi, une voix parmi les plus fortes du cinéma contemporain, que le régime des mollahs n’a pas........
© Le Temps
