Rien n’est jamais acquis, même pour la Suisse séculaire
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Il faut bien l’admettre: cette année, à l’occasion du 1er Août, les cervelas étaient moins bons, les lampions moins lumineux et les discours plus fades. Le coup de massue des 39% de droits de douane sur la tête des Suisses a fait mal. Devenus les mal-aimés, blessés dans leur fierté nationale, ils redécouvraient la fragilité de leur solidité.
Avouons tout de même qu’au-delà de la politique politicienne et des règlements de compte, l’idée que notre présidente de la Confédération soit celle qui «n’a pas peur du tycoon», comme l’écrivait le Corriere della Sera fin août,........
© Le Temps
