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Ce ne sera pas pour demain, ni pour après-demain: la possibilité d’étendre les vacances des apprentis de cinq à six semaines a été bottée en touche jeudi au Conseil des Etats.

Et pourtant, la proposition a toutes les raisons d’être prise au sérieux. Il ne s’agit pas d’opposer formation générale et formation professionnelle, les deux répondant à des besoins et aspirations bien réels en Suisse. Mais dans un contexte où l’apprentissage pourtant cher à la Suisse perd continuellement du terrain,........

© Le Temps