Si le rapport du groupe de travail sur l’audiovisuel a été bien accueilli par notre industrie de la télévision, il a consterné les producteurs anglophones. 

Ces derniers ne comprennent pas que ce rapport de 115 pages ne leur ait pas consacré un seul mot. Surtout – si mes renseignements sont bons – que le «Quebec English-language Production Council», l’organisme qui les représente, avait été invité à comparaître devant le groupe par Christine Maestracci, la secrétaire générale.

Le rapport intitulé Souffler les braises recommande deux mesures pour assurer la présence des contenus et récits autochtones sur nos écrans et pour protéger la souveraineté narrative des Premières Nations. Mais le rapport ignore complètement le milieu anglophone. Les producteurs anglophones du Québec ne digèrent pas qu’il ne reconnaisse même pas leur existence.

Quand........

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