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Mythe ou réalité, l’auto-assurance en cas de maladies graves?

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La dernière chronique explorait l’assurance maladies graves comme outil de gestion des risques en contexte d’entreprise. Mais un diagnostic bouleverse aussi l’équilibre familial. Cancer, accident vasculaire cérébral (AVC), sclérose en plaques… Ces maladies ne font pas de discrimination et peuvent survenir à tout moment, y compris en pleine carrière et lorsqu’on a des enfants à l’école. Et même avec une situation professionnelle stable, avec une assurance collective et un peu d’épargne, les effets financiers d’un tel revers ne tardent généralement pas à se faire sentir.

Les lecteurs financièrement bien organisés se posent donc probablement cette question fréquente : « Si j’ai un bon fonds d’urgence, des placements liquides et peu de dettes… ai-je vraiment besoin d’une assurance maladies graves ? »

Prenons Joseph, 43 ans, ingénieur salarié, père de deux enfants. Son revenu annuel de 105 000 $ et son assurance invalidité couvrant 66 % de son salaire après 90 jours lui donnaient un sentiment de sécurité. Mais lorsqu’un cancer colorectal l’oblige à s’absenter régulièrement du travail pendant un an, il découvre les angles morts de sa planification : trois mois sans revenu, 23 000 $ de........

© Le Devoir