Il y a quelques mois, plus précisément le 13 mars 2025, la série Adolescence a fait son apparition sur Netflix. Celle-ci, malgré son essence émotionnelle, dénonce la réalité que vivent de nombreux jeunes garçons aujourd’hui, une réalité teintée par l’idéologie montante de la « manosphère » et de la pilule rouge.

Ces courants, profondément misogynes, représentent un danger pour les hommes eux-mêmes, mais aussi pour les femmes qui doivent composer avec ces comportements.

La minisérie britannique de quatre épisodes explore la descente aux enfers de Jamie Miller, un adolescent de 13 ans accusé du meurtre brutal de sa camarade de classe, Katie Leonard. On apprend vite qu’il est bien coupable.

À travers l’enquête qui suit, on découvre comment les jeunes esprits peuvent être modelés par les espaces numériques qu’ils fréquentent – des espaces souvent dominés par des voix toxiques et sans contrepoids.

C’est à travers le parcours de Jamie que la série illustre les ravages d’une masculinité toxique apprise dans l’ombre des algorithmes.

Jamie n’est pas un monstre. Il est doux, intelligent, gentil avec ses amis. Il aime les jeux vidéo et l’histoire, comme beaucoup de garçons que je connais. Il pourrait être........

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