La professeure Catherine Beaudry fait appel à tout le talent de la province dans le domaine de l’innovation à un moment où celui-ci devient essentiel

Face aux tyrans de toutes sortes, mon père a coutume de dire : « Bien faire et laisser braire. » Nous devrions agir ainsi face aux menaces de l’occupant de la Maison-Blanche, peu importe qu’après ses multiples braiments, l’âne ait maintenant rué, avec ses droits de douane.

Alors que les décideurs canadiens semblaient désorganisés face aux droits de douane états-uniens, ils ont maintenant réagi. Une réponse coordonnée est souhaitable. Profitons-en pour accélérer nos transformations numériques et durables pour mieux innover.

Abordons d’abord le « bien faire ».

Pour faire face à ces menaces, il faut investir, collaborer, innover et renforcer la résilience de la chaîne d’approvisionnement dans des écosystèmes d’innovation performants, en particulier avec des pays alliés.

Nous avons tout le potentiel pour innover ici : ressources, main-d’œuvre, énergie décarbonée et marché intérieur sous-exploité.

L’innovation vient des individus, pas des entreprises, alors ne soyons pas alarmés par l’hésitation des entreprises étrangères à investir ici en raison des incertitudes.

Notre héritage de patenteux fait........

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