Dans sa chronique du mercredi 3 septembre, Jean de Saint-Cheron revient sur sa découverte des Mémoires d’une jeune fille rangée. Il explore la sincérité de Simone de Beauvoir, entre foi ardente et lucidité sociale, et défend la parole libre contre les faux-semblants du monde bourgeois.
Jusqu’à la semaine dernière je n’avais jamais lu aucune œuvre de Simone de Beauvoir. Cette lacune est désormais comblée par les Mémoires d’une jeune fille rangée. Remarquable d’élégance et d’intelligence, ce livre plonge son lecteur dans les grands appartements d’une........
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