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Souvent, l’excès de sensibilité est l’objet de reproches. La sensibilité dérange, gêne. Pourtant, « à trop vouloir nous protéger de notre sensibilité, nous appauvrissons le vivant », souligne l’écrivain Frédéric Boyer dans sa chronique hebdomadaire.

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06.11.2025
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© La Croix