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« Pourquoi j’aurais peloté une femme un vendredi ? » : Gérard Depardieu s’enfonce dans l’incohérence et refuse la remise en question lors de son procès

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26.03.2025

Après une première journée d’audience, lundi 24 mars, le procès de Gérard Depardieu, accusé par deux femmes d’agressions sexuelles lors d’un tournage, se poursuit mardi 25 mars. Appelé à la barre, le comédien a tenté de se défendre, mais s’est enfoncé dans des justifications peu précises et non maîtrisées.

Doigt pointé vers les plaignantes, accusation de complot, multiples demandes procédurales… Suite à une première journée d’audience, lundi 24 mars, marquée par une défense théâtrale, le procès de Gérard Depardieu, accusé par deux femmes d’agressions sexuelles lors d’un tournage, commence réellement ce mardi.

Alors qu’il n’a pas réalisé de déclaration ni eu de regard pour les nombreuses caméras présentes à son arrivée au tribunal, l’acteur âgé de 76 ans a enfin pris la parole. Entré souriant dans le prétoire, Gérard Depardieu a déroulé sur son début de carrière et sa vie, sans qu’un rapport direct avec les accusations à son encontre ne soit évident.

À peine a-t-il préparé sa défense en expliquant qu’il a, au cours de sa carrière, « côtoyé beaucoup de gens importants (et) moins importants ». Le tout avant d’ajouter que « ce n’est pas les importants qui m’intéressent. Ce sont les moins importants ». Quelques secondes auparavant, ce dernier affirmait : « Je ne vous cacherai pas que c’est difficile. Ça m’est déjà arrivé, dans le Time Magazine, en 1974, pour la promo des Valseuses. J’ai cru pouvoir parler anglais. C’était une erreur.........

© L'Humanité