Comment Israël utilise le « plan de paix » de Trump pour violer le droit international et continuer d’agir dans l’impunité
Sous prétexte du « plan de paix », toute pression ou mesures coercitives contre Tel-Aviv devraient être abandonnées. La marine israélienne en a profité pour intercepter la flottille en route vers Gaza sans que les gouvernements européens ne protestent. L’UEFA, qui devait exclure Israël des compétitions, a suspendu son vote.
L’attaque des bateaux de la flottille Sumud en route pour Gaza par la marine israélienne ne s’est pas produite à n’importe quel moment. Tel-Aviv ne faisant aucun cas des règlements en vigueur s’agissant des règles dans les eaux internationales, l’abordage aurait pu se passer beaucoup plus tôt. En réalité, Israël attendait l’annonce du fameux plan de paix par Donald Trump, le 29 septembre.
Vingt points amenés à mettre fin à une guerre génocidaire, à permettre le retour des captifs israéliens puis la libération de prisonniers palestiniens. Avec une condition majeure : le désarmement du Hamas et sa non-implication dans les affaires publiques, alors même que l’armée israélienne continuerait à camper dans une zone tampon, en terres palestiniennes et en encerclant totalement ce territoire. © L'Humanité





















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