Le procès pour cyberharcèlement sexiste à l’endroit de Brigitte Macron s’est ouvert, lundi 27 octobre, contre dix individus. Depuis 2017, l’épouse d’Emmanuel Macron est la cible d’une fake news qui affirme qu’elle est une femme transgenre. Une rumeur qui a fait le tour du monde.

Durant quatre années, ces rumeurs se sont propagées à l’international. Les accusations se sont multipliées à l’encontre de Brigitte Macron, dont le genre est remis en cause. Ce lundi 27 octobre, dix personnes sont jugées, dans une salle comble du tribunal correctionnel de Paris, pour cyberharcèlement à l’encontre de l’épouse du président de la République.

Une procédure qui fait suite à une plainte déposée en août 2024. Dans le détail, huit hommes et deux femmes, âgés de 41 à 60 ans, sont soupçonnés d’avoir colporté sur les réseaux sociaux la fausse information selon laquelle l’épouse du président de la République est une femme transgenre.

Plus précisément, le parquet de Paris énumère de

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