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Des enfants « affamés, brûlés vifs, ensevelis sous les décombres, amputés sans anesthésie » : l’Onu n’a plus les mots pour dénoncer l’« horreur » à Gaza

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27.09.2025

Lors de réunions tenues en marge de l’assemblée générale des Nations Unies, les responsables de l’Unrwa et de l’Ocha ont de nouveau dénoncé ce jeudi la situation dantesque imposée par l’entreprise génocidaire menée par Israël dans l’enclave palestinienne.

L’histoire rendra-t-elle de notre génération responsable, voir complice, du génocide encours actuellement à Gaza ? « Avec les avertissements lancés par la Cour internationale de justice l’année dernière et la publication du rapport de la Commission d’enquête (internationale indépendante de l’ONU sur le territoire palestinien occupé) la semaine dernière, cette question doit maintenant nous être posée », a solennellement déclaré, ce jeudi, le chef de l’Agence des Nations Unies pour les réfugiés palestiniens (Unrwa), Philippe Lazzarini.

Lors d’une réunion ministérielle organisée par le Brésil, l’Espagne en la Jordanie en marge de l’Assemblée générale, le responsable de l’Unrwa a pointé du doigt « une famine résultant du remplacement de l’opération humanitaire par des mercenaires qui utilisent la faim comme une arme », « une occupation militaire imminente de (la bande de) Gaza », « des colons enhardis et une annexion qui progresse en Cisjordanie occupée »… Des conséquences de l’« inaction » de la communauté internationale et de l’«........

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