Après les bombardements israéliens et états-uniens sur l’Iran, le nucléaire s’est rapidement imposé comme un enjeu central de la guerre, bien que l’ayatollah Ali Khamenei minimise son impact sur les sites concernés. Jeudi 26 juin, la république islamique a approuvé un projet de loi suspendant sa coopération avec l’AIEA, suscitant notamment l’inquiétude de la Russie.

Le guide suprême iranien, l’ayatollah Ali Khamenei, a minimisé l’impact des bombardements états-uniens sur les sites nucléaires de son pays ce jeudi 26 juin. Il s’agissait de sa première apparition publique depuis le cessez-le-feu et la fin de la guerre de 12 jours entre l’Iran et Israël. Le dirigeant iranien a estimé que Donald Trump avait « exagéré » leur efficacité.

Les États-Unis, qui avaient mené ces frappes dimanche 22 juin au matin en soutien à leur allié israélien, « n’ont rien gagné de cette guerre », a jugé Ali Khamenei, ajoutant que « la République........

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