La capitale française est, en Europe, la plus mortelle en période de canicule. Elle ne cesse de se transformer pour faire face à la chaleur mais l’État freine ses ambitions, notamment en raison de la préservation du patrimoine.

Paris vaut bien une baisse. C’est même l’urgence quand, été après été, le mercure tutoie l’alarmant record de 2019 et ses 42,6 °C qui ont fait du 25 juillet la température la plus haute jamais enregistrée dans la ville. Les Parisiens vivent dans la capitale européenne la plus mortelle

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