Une étude parue vendredi 31 janvier dans la revue « Sciences Advance » établit pour la première fois un lien de corrélation entre la hausse des températures dans les métropoles et l’augmentation du nombre de surmulots. De quoi poser un problème de santé publique.

Ils vivent à nos côtés, cachés dans l’ombre, pullulant dans les fondations des maisons ou le long des égouts : les populations de rats augmentent dans les villes sous l’effet du réchauffement planétaire et des îlots de chaleur urbains, d’après une étude parue vendredi 31 janvier dans la revue Science Advances, reprise par The Guardian et CBS. En étudiant seize métropoles aux quatre coins du globe, les chercheurs ont conclu que onze d’entre elles ont été sujettes à « une augmentation significative du nombre de rats » ces dix dernières années.

Sur la base d’observations publiques et de rapports d’infestation, parmi les villes les plus touchées, les........

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