Anglais, allemand, français: la question linguistique est aussi une affaire individuelle
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Bien sûr, il y a de quoi s’inquiéter quand Berne ferme des classes bilingues, ou quand des cantons alémaniques envisagent de renoncer au français en primaire. Il s’agit de vrais reculs là où la société devrait avancer.
On peut même être stupéfait que la Suisse, si prompte à se gargariser de sa richesse linguistique et culturelle – quatre langues, etc. –, soit si peu avancée en matière d’enseignement bilingue. Que celui-ci demeure un privilège de nantis dans des écoles privées est choquant. Il ne s’agit pas là d’une rigide position de principe: les familles le souhaitent. Le conseiller d’Etat valaisan Christophe Darbellay, président des ministres cantonaux de........
© Le Temps
