A la veille du Salon du livre, comme une odeur d’autodafé
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Le Salon du livre de Genève ouvrira ses portes le 19 mars pour cinq jours de rencontres, d’ateliers, de déambulations parmi des milliers de livres. Il faut s’arrêter sur cette image: des piles de livres, à perte de vue. Des livres en papier, que l’on peut toucher, ouvrir, parcourir, acheter. En accès libre. Des écrivains, des écrivaines prêts à débattre. C’est fou ce que cette vision, si longtemps banale, prend des atours particuliers en ce début de 2025. Pour deux raisons qui ont trait à la liberté de penser. Autant dire à la plus fondamentale de toute........
© Le Temps
