Léon XIV, un pape tout en synthèse, (un peu) héritier de François, pour fédérer l’Eglise et le monde
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Le pape François avait à peine entamé son envol vers le paradis le lendemain de Pâques que des voix s’élevaient pour lui reprocher de ne pas avoir fini son œuvre de réforme, et de laisser une Eglise catholique divisée entre conservateurs et progressistes; le conclave allait être âpre et disputé, prédisait-on.
Un peu plus de deux semaines après, l’Américain Robert Francis Prevost est élu souverain pontife en vingt-quatre heures. La surprise réside dans la personne, qui ne figurait guère dans les papables, mais pas dans son profil. Léon XIV, c’est le pape synthèse, fédérateur, voire universel. Rien de très nouveau sous les crucifix: dans l’histoire du Saint-Siège, on a parfois ainsi cherché la figure la plus fédératrice possible.
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