Depuis son cercueil, le pape François œuvre (peut-être) pour la paix et met la pression sur le conclave
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Cinquante chefs d’Etat, dix monarques, 130 délégations au total sur les près de 200 pays que compte la planète étaient réunis samedi dans le plus petit Etat du monde en l’honneur d’un seul homme, le défunt pape François. Ces dernières années, seule Elisabeth II avait fait mieux.
En 2013, lorsque Jorge Mario Bergoglio a accédé au trône pontifical, Barack Obama présidait les Etats-Unis, la Crimée était ukrainienne et on croyait encore, un petit peu, à une solution à deux Etats au Proche-Orient. En 2025, le monde connaît une mutation profonde, chaotique et anxiogène, engendrée par des guerres et de nouveaux dirigeants brisant certains codes en place depuis 80 ans.
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© Le Temps
