Mark Carney: l’austérité dépensière
S’endetter pour s’acheter une maison, c’est investir. S’endetter pour brûler son argent dans les centres d’achats, c’est s’enchaîner. Voilà la différence entre les déficits sous Trudeau et ceux que Mark Carney s’apprête à déposer. Le premier dilapidait sans vision, le second emprunte à coups de milliards pour la défense, les infrastructures et les entreprises étranglées par la guerre tarifaire.
Mais ne nous racontons pas d’histoires: un déficit de 90 à 100 milliards de dollars........
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