J’ai connu Yvan Lamonde au début des années 1980. À titre de rédacteur en chef adjoint au Devoir, j’étais chargé de la publication des textes de la section Idées. Il m’envoya un jour le compte rendu d’un ouvrage d’histoire, que j’ai retenu avec enthousiasme. Je l’invitai dès lors à m’en faire parvenir d’autres, que j’acceptai aussi.

Jusqu’à ce que la direction (Michel Roy, sans doute) propose que l’on publie plutôt les recensions de volumes en sciences humaines dans le cahier des arts et lettres du samedi. À ma suggestion, on confia à M. Lamonde la responsabilité de cette nouvelle chronique. Il accueillit cette mission avec empressement. Pendant un long moment (je ne saurais dire combien de temps), il remplit son mandat admirablement.

Jusqu’à ce que le directeur du cahier décide sans plus d’explications de mettre fin........

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