« Romancero Queer » de Virginie Despentes : une révolte un peu trop sage
Si elle suit une troupe qui se soulève contre un metteur en scène abusif, la deuxième pièce de Virginie Despentes s’avère trop tempérée pour vraiment convaincre.
Ils sont huit, un peu perdus dans des coulisses tapissées de gris, pendant que le metteur en scène, hors champ, sévit sur le plateau de répétition. Huit........
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