Face à l’affaire de corruption qui secoue le PSOE depuis le 12 juin, son secrétaire général, qui n’est autre que le Premier ministre espagnol, ne fléchit pas. Malgré les pressions, aucun vote de confiance ou d’élections anticipées ne sont prévues, mais Pedro Sanchez s’exprimera ce mercredi devant le Congrès.

Ni démission, ni élections anticipées, ni vote de confiance, et encore moins un changement de gouvernement. Voilà le cap que compte bien tenir le Premier ministre, Pedro Sánchez tout en encaissant........

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