« On n’est pas entré dans une bataille mais dans une guerre », Gaëtan Lecoq de la CGT ArcelorMittal
Environ 400 salariés d'ArcelorMittal ont manifesté devant le siège français du groupe à Saint-Denis, pour la défense de leur emploi et l'avenir de l'acier en France.
Dans le quartier de la plaine Saint-Denis, plusieurs centaines de salariés venus de différents sites d’ArcelorMittal se sont mobilisés ce mardi 13 mai afin de mettre la pression sur la direction du sidérurgiste qui envisage la suppression de plus de 600 postes.
« Nationalisation » est le terme qui était sur toutes les lèvres : « les Italiens l’ont fait, les Anglais l’ont fait (…) alors pourquoi nous, Français, on n’est pas capable de le faire ? », s’est interrogé © L'Humanité
