Au Printemps de Bourges, le PCF à la rencontre des acteurs culturels pour engager la riposte face à l’austérité
Dans la capitale berrichonne, le PCF a rassemblé élus et travailleurs pour engager la riposte contre la casse du service public de la culture. En appelant à la constitution de nouveaux États généraux.
Sous un soleil qui s’était fait attendre, le collectif culture du PCF organisait ce vendredi 18 avril, au Printemps de Bourges, son traditionnel rendez-vous avec les travailleurs de la culture et les élus locaux. Une trentaine de personnes ont répondu présent à l’invitation de son animateur, l’ancien député Pierre Dharréville, pour échanger sur les menaces qui pèsent sur un service public de la culture fragilisé par les coupes budgétaires successives, et cible d’attaques conjointes des libéraux et de l’extrême droite.
Parmi eux, le député communiste Nicolas Sansu, la secrétaire générale adjointe du Synptac CGT Claire Serre-Combe, Olivier Atlan, directeur de la Maison de la culture de Bourges, Magali Bessard, 1re adjointe communiste de la capitale berrichonne et conseillère régionale ou encore l’adjoint à la culture insoumis Yannick Bedin, entourés d’artistes et militants.
« Nous avons plus que jamais besoin d’une politique culturelle, sinon le marché va s’en occuper. Et ce seront les lieux de diffusion, l’éducation populaire ou la médiation qui en feront tout de suite les frais », a alerté Pierre Dharréville en guise d’introduction avec, sous le coude, © L'Humanité
