Conflit en Ukraine : la France et l’Europe doivent prendre leurs responsabi...
Il y avait quelque chose de pathétique à voir tous ces dirigeants européens le 18 août 2025, installés dans le bureau ovale de Donald Trump, à la maison Blanche, à la suite de l’entretien de ce dernier avec Vladimir Poutine quelques jours avant, le 15 août. Ils voulaient s’assurer que les États-Unis étaient toujours bien de leurs côtés, du côté de l’Ukraine, que les États-Unis donneraient des garanties de sécurité à l’Ukraine, que même si l’Ukraine n’intégrait pas l’OTAN, elle bénéficierait d’une garantie de sécurité équivalente à celle prévue par l’article 5 du traité, à savoir une solidarité sans faille en cas d’agression d’un des États membres.
Il faut dire que les Européens ont choisi de bannir tout dialogue direct avec Poutine. Ils se sont placés eux-mêmes dans la position d’essayer d’influencer de l’extérieur les échanges entre Donald Trump et Vladimir Poutine. Il ne s’agit peut-être pas pour eux de la meilleure façon de peser sur les évènements par les canaux diplomatiques traditionnels.
Afin d’être admis à la table des négociations, certains Européens dont la France envisagent d’envoyer des troupes sur le terrain en Ukraine, des troupes qui ne seraient pas en première ligne - il ne faut guère effrayer son opinion publique - mais seraient toutefois supposées peser sur l’issue du conflit en cas de cessez-le-feu. On ne voit pas bien l’intérêt d’envoyer des troupes, sorte de casques bleus français, afin de faire pencher la........





















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