Sans concurrence, il n’y a pas de libéralisme heureux
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En tant que fille de restaurateurs, Karin Keller-Sutter comprend bien les préoccupations des petites et moyennes entreprises, la présidente de la Confédération ne manque en tout cas jamais une occasion de le rappeler. Un des facteurs qui expliquent peut-être pourquoi elle a choisi mardi, lors de l’ouverture du WEF, de donner une petite leçon de libéralisme, prônant des règles claires et sûres, de la transparence, et – sans surprise – des finances publiques saines.
La conseillère fédérale saint-galloise n’a pas manqué au passage de relever........
© Le Temps
