Boualem Sansal n’a pas été gracié, mais au Maghreb il n’est pas «Voltaire»
Le président algérien n’a pas accordé sa grâce à l’écrivain franco-algérien, contrairement à ce qu’espéraient ses soutiens. Si sa détention suscite une forte mobilisation en France, c’est la méfiance qui l’emporte au Maghreb. Y compris chez les militants et les intellectuels de la gauche laïque.
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