Si un glissement à droite du spectre politique semble acquis, un retour à la stabilité désirée après l’élection anticipée du Bundestag du 23 février paraît s’éloigner. Car l’avènement de Friedrich Merz, issu de la CDU, comme chancelier pourrait être gêné par la forte poussée de l’AfD.

À moins de six semaines des élections anticipées du 23 février, les partis allemands se sont mis en ordre de bataille, ce week-end, pour l’ultime phase de la courte campagne. Du Parti social-démocrate (SPD) du chancelier Olaf Scholz aux Verts du ministre de l’Économie et du climat sortant, Robert Habeck, en passant

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