Figure emblématique du courant ultraconservateur au sein de l’Église catholique, le cardinal Robert Sarah incarne une vision rigoriste de la foi lui valant le soutien de la fachosphère. Ancien préfet de la Congrégation pour le culte divin, il est l’un des prétendants à la succession du pape François.

Il est la coqueluche des réactionnaires de tout poil, qui s’ébaubissent à l’idée qu’un premier pape africain, continent où le nombre de fidèles catholiques croît le plus rapidement, puisse porter leur idéologie nauséabonde – comme si l’origine primait sur les idées.

Car Robert Sarah est un ultraconservateur, un dur de dur : ainsi considère-t-il que « ce que le nazisme et le communisme étaient au XXe siècle, l’homosexualité occidentale, les idéologies abortives et le fanatisme islamique........

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